Le Grand et Célèbre coins Poèmes.

» DATE D'INSCRIPTION : 04/03/2009

Lol le coin poete du fofo^^ voici un des poètes :

Chaque jour il ne peut cesser de penser à elle,
Et chaque soir il ne peut cesser de rever d'elle.
Chaque jour il repense a tous ces moments passés avec elle.
Et chaque soir il pense aux autres qui l'attendent avec elle.
Desormais la distance les separe,
Mais ils arrivent toujours a se voir.
Car elle est tout pour lui,
Et l'amour les uni.

» DATE D'INSCRIPTION : 04/03/2009

Et si un jour, tu me disais oui
Alors moi je te dirais non
Et si un jour, mes yeux t'ont ébloui
Alors ce sont la les yeux d'un blond
Et si tu me demande cet ancien visage enfoui
Alors a quoi bon
Et si tu demande
Pourquoi je t'aime
Alors je te dirais
Pourquoi tu vis.

Dédicace à Hermy I love you

» DATE D'INSCRIPTION : 04/03/2009

Aujourd'hui, je me suis dit
Pourquoi ne pas tuer?
Et alors, j'ai sourit
Pour le pauvre homme que j'allais éventrer!
Une goute de sang perle sur le fil
D'une lame d'acier et de lumière
Pas plus de temps qu'un batement de cils
Et il s'effondre par ces quelques pouces de fer
Sur le sol se déversaient tant de choses
Boyaux, foie et coeur!
Un rammassis d'organes a la nécrose
Meurt meurt et meurt!!!
Alors je lui ai brisé le crane
Et dégusté son cerveau
Je lui ai volé son âme
Et arraché toute sa peau
J'ai enterré sa carcasse
Dans mon illustre jardin
Quelle belle farce
Que de frire ses mains!
Je suis la bête et le vampire
Le noir d'âme et d'esprit
Jamais de connaissance ne sera pire
Que de mienne, sois averti...!

Like a Star @ heaven

» DATE D'INSCRIPTION : 04/03/2009

si vous avez remarquer j'ai décider de mettre de la couleur ! :

Le soleil nous donne la vie
Et sans lui vous ne pourriez pas lire ceci
Sinon même si je sais plus depuis combien de temps il est là
Oh je sais que ça fais longtemps
Les jours passés avec lui et toi
Et bien je ne les compte plus à présent
Imaginez un monde sans soleil
Laissez tomber, ça ne sera pas du tout pareille.

sunny

» DATE D'INSCRIPTION : 04/03/2009

La mort survient à un moment, n'importe lequel
Ah mon amour tu es partis avec elle
Malheureusement tu t'es suicider
Oh j'ai voulu t'en empêcher
Raté, plus du tout je ne te reverrais
Tu es partis à tout jamais

pale

(celui ci était nul je trouves)

» DATE D'INSCRIPTION : 04/03/2009

Sombres pensées

La Mort,
La Guerre,
La Famine,
La Maladie,
Ces quatre éléments intimement liés,
Que personne ne peut séparer,
Se propagent telle une chevauchée.

La Mort, chevalier du Destin qui frappe sans distinction,
Ne fait aucune exception,
Qu’on soit riche ou pauvre, elle viendra nous chercher,
Qu’on soit jeune ou vieux, elle viendra nous faucher,
On peut essayer de la retardez,
Mais elle finira toujours par gagner.

Lorsque la Guerre frappe, elle l’accompagne,
Lorsque la Famine affame, elle se gave,
Lorsque la maladie terrasse, elle se soigne,
Première des quatre cavaliers,
Personne ne peut l’arrêter.

La Guerre, née de la folie des hommes,
Pour détruire d’autres hommes,
Créature sans-cœur,
Son nom est synonyme de malheur,
Tant que son ombre s’étendra,
Aucune paix existera.

Dans son sillage de désolation, la Mort n’est jamais une exception,
Aidé par la Famine, elle affame ses victimes,
Aidé par la Maladie, elle détruit plus de vies.
Seconde des quatre cavaliers,
Elle n’a aucune pitié.

La Famine n’a qu’une seule faim,
Que personne n'ait de pain,
Elle n’a qu’une passion,
Que tous les ventres crient son nom,
Elle n’a d’appétit,
Que lorsque les autres en ont aussi.

Par elle, les griffes de la Mort s’allongèrent,
Grâce à elle, les feux de la Guerre s’allumèrent,
Grâce à elle, la Maladie prospère,
Troisième des quatre cavaliers,
Elle se gave pour l’éternité.

La Maladie, fléau des vivants,
Celle qui est dans notre sang,
Toujours nous la croyons détruite,
Toujours elle ressuscite,
Dans notre corps où elle est cachée,
Elle finira par nous terrasser.

Sous ses différentes incarnations, elle transporte la Mort à toutes les nations,
Suivant la Guerre, elle mène sa propre guerre,
Aidant la Famine, elle augmente le nombre des victimes,
Dernière des quatre cavaliers,
Elle se cache pour frapper.

La Mort,
La Guerre,
La Famine,
La Maladie,
Voici les noms des quatre cavaliers de l’Apocalypse,
Tueurs qui agissent sans liste,
De tous temps, ils ont été là,
De tous temps, ils seront là.

Même si la Guerre est terrassée,
Même si la Famine est oubliée,
Même si la Maladie est annihilée,
Le plus puissant des quatre cavaliers,
Continuera sa chevauchée,
Car personne n’a jamais pu lui résister,
Même sans ses équipiers,
La Mort continua de faucher,
Pour l’Eternité.